Alban Michon et la GF 300 ZRC
« J’ai toujours aimé les montres. Pour moi c’est non seulement un bijou, mais aussi un élément de sécurité. Quand je pars en expédition, la montre est un outil indispensable. Ce qui m’a plu dans la ZRC Grands fonds, au-delà de son histoire incroyable, c’est surtout son extrême solidité ; et pourtant les montres, j’ai plutôt l’habitude de les malmener !
Avec la GF, je peux la faire tomber par terre où la taper contre un iceberg, elle ne bouge pas, pas une trace sur le verre. Ses aiguilles super lumineuses ont un côté rassurant. Quand je suis sous un iceberg, dans le noir le plus profond, le seul truc qui brille, c’est la montre ! Ça m’a vraiment bluffé.
Et puis elle possède plein de détails qui font la différence en expédition, comme la rallonge de plongée pour la passer sur la combinaison ou le système de protection de la couronne. Je me rappelle d’une fois où j’avais complètement noyé ma montre de l’époque parce que j’avais oublié de revisser la couronne. Avec la GF ça ne peut pas arriver. C’est comme le système de nettoyage à l’eau claire pour éviter la corrosion par le sel, ça rassure. Sous l’eau une montre c’est aussi une sécurité, il vaut mieux pouvoir compter sur elle !
Au-delà de tout ça j’ai été séduit par l’aspect historique. Une entreprise française de 111 ans qui réédite la montre qui a équipé les plongeurs de la Marine Nationale et l’équipage de Cousteau, ça jette ! Quand j’ai appris l’héritage de cette montre, je me suis dit « oui quand même, ça pose bien les choses ! ».
Je suis fier d’en être aujourd’hui à mon tour le parrain.